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Pourquoi je dois agir

Nous transformons l’environnement

Durant ces 15O dernières années, les activités humaines ont davantage transformé l’environnement que les millénaires écoulés depuis la préhistoire.

Le vélo est le mode de transport le plus économe en terme d’énergie. Malgré les 800 millions de véhicules roulant aujourd’hui sur terre, 80% des habitants de la planète ne possèdent pas de voitures et se déplacent via les transports collectifs, à pied ou à vélo. Cette force vive, qui résulte malheureusement plus de la contrainte économique que du choix personnel, a le mérite de mettre en exergue le coût énergétique du trafic de voyageurs en France :

Pour le transport de personnes et sur une distance d’1 km :
8,7 g équivalent pétrole en train
17,4 g équivalent pétrole en bus
32,8 g équivalent pétrole en 2 roues motorisées
36,4 g équivalent pétrole en voiture particulière

En France, le transport routier représente 25% des gaz à effet de serre émis par an et son augmentation suscite les plus vives inquiétudes. La pollution qui en résulte au niveau des émissions de CO2 doit nous faire réagir et nous faire redécouvrir le transport à vélo.

Substituer son vélo à son automobile permet, en milieu urbain et sur un kilométrage journalier parcouru d’environ 10 kms, de diminuer de 700 kg ses rejets de CO2 par an (source “De la voiture au vélo en quelques chiffres”).

En ville, la voiture est utilisée dans 80% des déplacements, représentant la première source de pollution de l’air. Un européen sur 3 prend son véhicule pour parcourir moins de 3 kms. Résultat de ces comportements : 700 000 tonnes de pétrole brûlées et 400 000 tonnes de polluants divers rejetées dans l’air. Nos monuments, nos forêts, nos lacs et nos rivières ainsi que nos poumons en sont les principales victimes. Les oxydes d’azote et de soufre sont les principaux responsables de la formation des pluies acides et contribuent, avec les particules, à l’apparition de troubles respiratoires, maladies et allergies.

Mais, là encore, le vélo est gagnant et contrairement aux idées reçues, le cycliste est moins exposé aux polluants atmosphériques que l’automobiliste. Dans une voiture, l’air est capté au niveau du sol, par l’avant et ainsi se retrouve chargé des gaz d’échappement des autres véhicules le précédant. Plus haut perché et souvent plus mobile en milieu urbain, le cycliste se trouve moins soumis à ce type de pollution.
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