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Pourquoi je dois agir

Le respect des chemins et sentiers

Comme pour la plongée sous-marine, la voile ou la randonnée, les loisirs en général et le cyclisme en particulier doivent s’imposer une éthique de la pratique pour éviter les débordements.

Le VTT incarne l’évasion et la liberté. Pratiqué en milieu naturel, son impact sur l’environnement est difficilement contrôlable. Sauf à entrer dans une logique d’interdiction préventive qui le condamne, sans plus d’égard.

La législation est claire et les usages plus ambigus. La liberté constitutionnelle d’aller et venir s’applique au passage dans les chemins. Mais, les cas particuliers sont nombreux et la réglementation sur le terrain, inextricable. Difficile, parfois, de différencier un single track d’un chemin (pourtant, seul l’usage du dernier est autorisé), d’avoir accès aux arrêtés préfectoraux en vigueur, de savoir où commence la forêt et où finit le bois.

L’ONF ayant la charge - dans les textes - de refuser l’accès des chemins à l’intérieur des peuplements forestiers. Un vrai casse-tête en réalité.

Concrètement, c’est par la bonne cohabitation avec les randonneurs à pied que le sort de la circulation à VTT en milieu naturel se réglera.

Nos comportements individuels sur le vélo seront, une fois encore, déterminants. Dans cet esprit et en terme d’image, plus le VTT recherchera son inspiration vers le 2 roues motorisées, plus il sera dans le collimateur des pouvoirs publics et des instances de contrôles et de surveillance comme les Commissions Départementales des Espaces, Sites et Itinéraires (CDESI).

La tolérance dont nous bénéficions aujourd’hui ne survivra pas aux excès velléitaires de quelques “pilotes” irresponsables qui considèrent que la nature est juste un terrain de jeu.

La clé, c’est l’image bien sûr que nous donnerons – marques et pratiquants - de notre sport. Ainsi que notre capacité à apprécier individuellement les situations sur le terrain avec discernement.
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